Un adjoint faussement incriminé Une fois encore le même fabulateur, se permet de raconter son histoire sans fin.

Il incrimine de nouveau un adjoint et de plus, veut nous faire croire, que des conseillers municipaux, lui feraient des confidences.
La pose du panneau sur le trottoir de la rue des Botteaux, a été une décision collégiale de l'exécutif, et non le fait d'un seul homme.
Cette même personne affirme, que l'adjoint en question n'est plus visible depuis fin juillet :

s'il était venu à la fête des moissons (fête de tous les Grandvertois) il aurait pu l'y trouver.

Etre adjoint, ne dispense pas de travailler pour gagner sa vie et Thierry Marais, personne reconnue et respectée de très nombreux Grandvertois, n'a pas que s h comme préoccupation, d'autant plus que ce monsieur a déjà été reçu par les adjoints pour exposer ses doléances.

Propos de ce monsieur :
« Tout paraît impliquer Thierry MARAIS dans l'histoire de la mise en place du panneau devant la maison familiale du président de l'association a..r : il est apparemment rendu responsable par certains conseillers municipaux hostiles à cette décision…
Injoignable depuis... le 23 juillet, l'élu n'a toujours pas accepté le moindre rendez-vous de conciliation. »

Pour ce qui est du déplacement du panneau, un recours gracieux ayant été déposé par s h, la mairie se conformera à la décision du tribunal administratif s'il y a lieu.
On peut tout de même, se poser la question sur le fait que la haie ait été retaillée par son propriétaire, juste après la pose du panneau, pour être raccourcie de plusieurs centimètres en hauteur : comment n'a t'il pas été gêné pour cette taille qui a mis le panneau en évidence?

Enfin, je cite :
« Les Grandvertois qui attendent de leurs élus qu'ils administrent enfin le village se le demandent avec impatience... »

Nous avons le sentiment inverse de la phrase ci-dessus, voir même, que les Grandvertois qui nous ont fait confiance dès le premier tour des élections 2008, apprécient beaucoup que notre programme suive son cours à grands pas, et que les promesses faites soient tenues sans faille.
Nous ne comprenons pas d'où peut sortir cette fausse idée de la non administration de notre beau village.

A bon entendeur…

Le bureau de L’ADIC.