30.09.07 | By William | Comments (off)
Mesdames et Messieurs d'a..rJe persiste et je signe en vous traitant aujourd'hui encore, de menteurs ou peut-être de sourds.
Suite à l'insulte de Mr Coquelin sur le détournement volontaire de l'acronyme de notre slogan "UNION POUR L'AVENIR DE VERT LE GRAND", j'ai applaudi et j'ai dit à mr Coquelin que j'avais déjà répondu à sa fille sur l'acronyme exact de l'ADIC.
Si dérapage verbal il y a eu, c'est votre élu qui l'a fait et non moi.
Je vous demande donc d'arrêter immédiatement vos fausses affirmations et de publier un démenti sur votre site, voir même en étant courageux sur celui-ci.
Il n'y a jamais eu aucune insulte de ma part envers votre élu ni envers sa fille.
Je pensais que vous aviez compris que vos mensonges et les très larges exagérations vous portaient préjudice vis à vis de notre village, mais je constate et je déplore, qu'il n'en est malheureusement rien.
Nous étions nombreux à ce conseil municipal et je n'aurai aucun soucis à prouver mes dires.
Mais peut-être pourriez vous envoyer des courriers pour appuyer vos mensonges, comme vous savez si bien le faire.
Un dernier mot : vous osez affirmer que le conseil était serein, alors que le même élu ci-dessus s'est permis malgré son absence d'insulter l'ancien président du comité des fêtes et ce devant toute l'assemblée.
Pour conclure, je suis certain que vos manigances et votre mauvaise foi chronique vous porterons préjudice très bientôt.
Salutations.
William Fournier
Le conseil municipal du 28 septembre s'est déroulé dans un climat serein. Nous avons constaté avec satisfaction la volonté du maire et de l'administration de travailler concrètement avec la majorité, ce dont tous les Grandvertois ne peuvent que se féliciter.Nous ne pouvons donc que déplorer davantage le dérapage verbal du président de l'ADIC qui, devant une salle pleine, s'est permis d'insulter publiquement un élu et un membre de sa famille.Nous espérons qu'un incident de cette nature ne se reproduira plus jamais et comptons sur nos collègues de l'ADIC pour rappeler leur président à plus de mesure.